La caricature du XVIIIe siècle: La puissance d’un dessin

de Haley Rugh

Les années 1800 étaient « l’age d’or » des caricatures en France, particulièrement après la révolution de 1830. La révolution de 1830 a beaucoup contribué à l’émergence des caricatures politiques parce que le peuple français a demandé la liberté de la presse. Avant la révolution il y avait seulement quatre journaux qui n’étaient pas les journaux politiques. Apr s la révolution, au moins 350 journaux politiques se sont développés. Ces journaux étaient très importants parce qu’ils ont parlé contre les vices de la monarchie et l’absolutisme en général. La façon ce dont les journaux ont fait cela était par les caricatures.

Comme les caricatures dénonçaient certaines actions de la monarchie, les journaux politiques étaient strictement censurés pendant la période 1820-1880. Pendant cette époque, il y avait seulement trois fois où le gouvernement français a établi la « liberté de la presse» quoique la presse fût censurée encore. C’était pendant 1830-1835 que deux journaux politiques très importants étaient commencé par Charles Philipon s’appelaient La Caricature et La Charivari. Beaucoup des artistes ont contribué à ces journaux satiriques, la plus notables étant Honoré Daumier qui était le caricaturiste prédominant de La Caricature.

Le rôle des caricatures était très significatif dans les journaux politiques en France pendant la période 1830-1835. Comme la plupart de la population n’avait pas la capacité de lire, les images étaient considérées plus dangereux et puissantes que les œuvres écrites. Les œuvres écrites ont plus de complaisance aux yeux des censures parce que les caricatures étaient plus compréhensibles par la majorité de la population. L’émergence de la lithographie comme un nouveau forme d’art a facilité la circulation des journaux.

Bien que le roi Louis-Philippe ait établi la liberté de la presse en 1830, La Caricature et La Charivari tombaient suspect de la censure au cours des années. Les caricaturistes ont testé les limites de la tolérance et leurs caricatures devenaient plus aventureuses. Le gouvernement devenait plus défiant des caricatures et la censure devenait plus stricte. La relation entre la presse et le gouvernement devenait un jeu de « chat et souri. » Quoique la liberté de la presse existe, la liberté n’existe pas vraiment.

À cause de la présence de la censure au beau milieu de la « liberté de la presse, » les artistes des caricatures tombaient souvent sous l’examen critique du gouvernement. Les censures empêchaient la distribution des caricatures qui sont nuisibles vers la religion, les biens généraux de la paix de l’état, et la pureté des morales. Daumier et Philipon étaient emprisonnés pour certaines caricatures parce que les caricatures étaient considérées une disruption à l’ordre et la stabilité politique.

Les caricatures étaient affichées sur les endroits publics donc les caricatures étaient accessibles par une grande partie de la population. Dans la caricature La Maison Aubert par Traviès, il montre un mélange des classes sociales. Cette caricature montre le fait que les caricatures étaient comprises par une grande partie de la population malgré les classes sociales. Les grandes foules que les caricatures ont attirées menaçaient l’ordre sociale et politique. C’est impossible de mesurer les effets exacts des caricatures sur la population, mais il n’y pas de doute que les caricatures avaient un effet profond sur les sentiments contre le gouvernement.

La tension entre la presse et le système politique changeait la tonne et la qualité des caricatures. Quand la liberté de la presse était établie après la révolution de 1830, les caricaturistes avaient la liberté de dessiner ce qu’ils voulaient avec certaines restrictions. La caricature devenait plus en plus poignant dans la période 1830-1835 et provoquait les censures de réagir. À cause de cela, la nature et les sujets des caricatures changeaient dramatiquement. Quelques techniques étaient utilisées pour déguiser le vrai sens de la caricature.

Les Poires, une caricature par Philipon, soulevait la question du droit du caricaturiste de créer et transformer les ressemblances, indépendamment de la loi. Dans cette œuvre, le visage de Louis-Philippe transforme dans la forme d’une poire. Comme la caricature était une directe représentation du roi et montrait un changement évident dans la physionomie de Louis-Philippe, Philipon était emprisonné.

Dans le même esprit, Daumier montre le roi Louis-Philippe sur une toilette dans son œuvre Gargantua. La caricature est une attaque sur le privilège matériel. Il a utilisé Gargantua, une figure littéraire très connue par les français, comme une métaphore pour un roi dont le pouvoir est devenue disproportionnelle. Gargantua montre Louis-Philippe comme une figure avide et intéressé aux dépens du peuple français. La caricature de Louis-Philippe dépend sur la manipulation de sa physionomie comme Philipon a fait dans Les Poires. À cause du changement direct dans le personnage de Louis-Philippe, Daumier était emprisonné aussi.

Après la censure était rétablie officiellement en 1835, les caricaturistes abandonnaient la création des images évidemment politiques jusqu'à 1848 quand la liberté de la presse était établie encore. Les caricaturistes ont du modifier leurs oeuvres pour attirer l’attention du gouvernement dans une autre direction. Les œuvres de Daumier devenaient plus subtils. Il bougeait des exagérations physiques vers les « clever surrogates » pour déplacer ces œuvres du contexte domestique (Jstor). Dans L'Empereur Soulouque Daumier montre L’Empereur Soulouque d’Haïti qui lance un journaliste pétrifié dans un chaudron d’eau bouillant. La caricature ne reflète pas les événements en Haïti. En actualité, L’Empereur Soulouque représente Louis-Napolean et critique la répression d’un journal par le gouvernement français. Pendant que la censure devenait plus stricte, Daumier a utilisé plus des figures exotiques pour éviter les yeux littéraux des censures.

Après l’incarcération de Daumier, les caricaturistes ont du modifier leurs dessins pour déguiser les personnes qu’ils voulaient cibler. Dans Digestion du Budjet par Grandville, il parle contre l’égouttage des ressources naturelles par le gouvernement françaises. Grandville cache le visage de Louis-Philippe à cause de la censure. Il tourne le visage loin de l’observateur. L’observateur peut comprendre que la personne est Louis-Philippe à cause du style de ses cheveux. Comme Grandville a caché le personnage du roi, il s’échappait les censures.

Les caricatures pendant la 19ième siècle en France avaient une plus grande influence que les mots écrits particulièrement dans la période 1830-1835. Comme les dessins étaient plus puissants que les mots, les caricatures dans les journaux politiques tombaient souvent victime de la censure. Les censures étaient très strictes donc les caricaturistes ont du modifier leur œuvres pour « cacher » le vrai signification. Le fait que les caricaturistes ont testé les limites de la liberté de la presse, préparait une liste pour l’arête officielle de la censure en 1881.

No comments: